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Depuis janvier 2020 une épidémie de Coronavirus COVID-
Retrouvez sur cette plateforme toutes les réponses officielles aux questions que vous vous posez sur ce qu’est le Coronavirus COVID-
Face à l’épidémie , il existe des gestes simples pour préserver votre santé et celle de votre entourage :
Se laver les mains très régulièrement
Tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir
Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades
Utiliser des mouchoirs à usage unique et les jeter
Eviter les rassemblements, limiter les déplacements et les contacts.
Qu’est-
Les Coronavirus sont une grande famille de virus, qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des Coronavirus) à des pathologies plus sévères comme le MERS-
Le virus identifié en janvier 2020 en Chine est un nouveau Coronavirus. La maladie provoquée par ce Coronavirus a été nommée SARS-
Depuis le 11 mars 2020, l’OMS qualifie la situation mondiale du COVID-
Quels sont les symptômes du Coronavirus COVID-
Les symptômes principaux sont la fièvre ou la sensation de fièvre et des signes de difficultés respiratoires de type toux ou essoufflement.
Existe-
Il n’existe pas de vaccin contre le Coronavirus COVID-
La prise d'anti-
De manière générale, l’auto-
Comment se transmet le Coronavirus COVID-
La maladie se transmet par les gouttelettes (sécrétions projetées lors d’éternuements ou de la toux). On considère donc qu’un contact étroit avec une personne malade est nécessaire pour transmettre la maladie : même lieu de vie, contact direct à moins d’un mètre lors d’une toux, d’un éternuement ou une discussion en l’absence de mesures de protection. Un des autres vecteurs privilégiés de la transmission du virus est le contact des mains non lavées.
C’est donc pourquoi les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale sont indispensables pour se protéger de la maladie.
Quel est le délai d’incubation de la maladie ?
Le délai d’incubation, période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes. Le délai d’incubation du coronavirus COVID-
D’où vient le coronavirus COVID-
Les premières personnes à avoir contracté le virus s’étaient rendues au marché de Wuhan dans la Province de Hubei en Chine. Une maladie transmise par l’animal (zoonose) est donc privilégiée mais l’origine n’a pas été confirmée.
Le virus a-
Ce jour il n’existe pas d’arguments scientifiques suffisamment robustes en cette faveur. Les travaux de recherche se poursuivent aujourd’hui pour mieux connaître le virus. Il convient de rappeler que la grande majorité des mutations des virus sont neutres, et le reste plus souvent bénéfiques pour l’Homme que l’inverse. En effet, dans la majorité des épidémies, les virus évoluent vers moins de dangerosité mais plus de diffusion.
Grâce aux moyens de détection et aux mesures de lutte contre le coronavirus, la circulation de la souche L, plus sévère et donc plus facilement détectable, tend à diminuer.
Peut-
A ce jour, il n’a pas été rapporté de contamination par l’eau. Cette maladie est à transmission interhumaine par la voie des gouttelettes (toux, éternuements). La source originelle du virus n’est pas encore identifiée mais semble d’origine animale.
Existe-
Il n'existe aucune preuve que les animaux domestiques jouent un rôle dans la propagation coronavirus COVID-
Existe-
Au vu des informations disponibles, le passage du Coronavirus COVID-
Y aura t-
Les mesures annoncées par le Président de la République ont pour objectif freiner la progression de l’épidémie. Dès lors, la vitesse de propagation du virus se ralentit et permet de limiter le nombre de personnes atteintes en même temps par le virus. Dans cette stratégie, le type de personnes atteintes par le virus, et la répartition des cas simples, notamment en fonction de l’âge ou de l’existence de plusieurs maladies n’est pas modifié. Les études internationales nous montrent que si les personnes fragiles sont les plus à risque de développer une forme grave d’infection au Coronavirus, l’ensemble de la population peut également être concernée. La notion de seconde vague évoquée par le Président de la République se fonde sur les observations scientifiques montrant que les sujets jeunes, au début de leur contamination, présentent des symptômes peu graves, mais qu’après environ une semaine d’évolution, certains présentent des atteintes plus sévères, nécessitant de possibles hospitalisations.
Comment s’organise la recherche autour du virus en France ?
Le Président de la République a fait un point avec des médecins, des scientifiques des responsables de laboratoires mobilisés pour la recherche contre le coronavirus et les responsables du consortium REACTing, coordonné par l’INSERM et placé sous l’égide d’Aviesan, l’alliance de recherche en sciences du vivant et santé, et mandaté par le gouvernement pour coordonner l’effort de recherche. Le monde de la recherche est totalement mobilisé. Afin de soutenir l’effort de recherche, le ministère des Solidarités et de la Santé et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont annoncé le 5 mars 2020 débloquer 5.5 millions d’euros supplémentaires dédiés au soutien et à la coordination de la réponse scientifique à la propagation du virus, portant l’effort global à 8 millions d’euros.
De nombreux programmes français et européens et des essais cliniques, sont en cours afin d’améliorer le diagnostic, la compréhension et la prise en charge de cette maladie. Par ailleurs, des équipes travaillent sur plusieurs pistes de traitement à Paris, Marseille ou encore Lyon ; les protocoles ont commencé. Des équipes sont également à pied d'œuvre pour inventer un vaccin, qui pourrait voir le jour dans les prochains mois.
Quelle est la stratégie des autorités sanitaires pour les tests ?
En phase épidémique, le principe est de ne plus tester systématiquement. Il n’y pas de droit à être dépisté, et pas d’avantage particulier à le faire pour la population générale. Après consultation du Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), les tests ne seront plus réalisés de manière systématique et seront destinés en priorité à quatre types de populations :
les personnes fragiles(cf liste) présentant des symptômes évocateurs du COVID-
les deux trois personnes présentant des symptômes évocateurs du COVID-
les personnes hospitalisées présentant des symptômes évocateurs de COVID-
les professionnels de santé présentant des symptômes évocateurs de COVID-
Pourquoi ne plus tester tous les patients avec symptômes ?
Devant l’augmentation du nombre de cas, la recherche systématique de contacts est devenue inutile. Tester tous les patients présentant des symptômes conduirait à saturer la filière de dépistage alors que pour les cas graves et les structures collectives de personnes fragiles, le dépistage permet toujours de prendre des mesures immédiates (par exemple pour prévenir la diffusion du virus au sein d’un hôpital lorsqu’un patient est hospitalisé). Le décompte des cas ne se fonde plus uniquement sur les cas diagnostiqués biologiquement, mais sur des estimations épidémiologiques, comme cela se fait pour la grippe tous les ans (nombre de consultations, nombre de cas graves ou de décès…). Ces modifications reflètent donc une volonté d’adapter la réponse en fonction de l’évolution de la propagation du coronavirus dans les différents territoires.
Comment se passent les tests ?
Pour les populations concernées (cf question précédente), il y a plusieurs possibilités de tests :
Pour les patients diagnostiqués à l’hôpital ou avec signes de gravité, ces tests seront réalisés dans les hôpitaux.
Pour les autres patients répondants aux critères de dépistage, il est possible d’être testé dans les laboratoires en ville, après contact du médecin traitant et prescription médicale. Les prélèvements seront réalisés à domicile. Il ne faut en aucun cas se rendre directement dans les laboratoires de biologie, mais les appeler au préalable, et seulement si on a une prescription médicale, car il existe un grand risque de contaminer d’autres malades, notamment les plus fragiles.
Concernant les patients non testés,ils seront diagnostiqués COVID-
Source: www.gouvernement.fr